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Parce que je t’aime

Un livre profondément humain.
Un dénouement stupéfiant.

Layla, une petite fille de cinq ans, disparaît dans un centre commercial de Los Angeles. Brisés, ses parents finissent par se séparer…
Cinq ans plus tard, Layla est retrouvée à l’endroit exact où on avait perdu sa trace. Elle est vivante, mais reste plongée dans un étrange mutisme.
À la joie des retrouvailles, succèdent les interrogations. Où était Layla pendant toutes ces années ? Avec qui ? Et surtout : pourquoi est-elle revenue ?

Interview de Guillaume Musso à propos de Parce que je t'aime , Mai 2007

Comment présenteriez-vous ce nouveau roman a vos lecteurs ?

L’histoire débute dans l’intimité d’une famille : Mark est un jeune et brillant psychologue qui forme avec sa femme, Nicole, l’un des couples les plus glamours de Manhattan. Mais leur bonheur conjugal vole soudain en éclats avec la disparition mystérieuse de leur petite fille, Layla. Incapables de faire face ensemble à leur douleur, Mark et Nicole finissent par se séparer. Puis le temps passe et, cinq ans plus tard, Layla est retrouvée a l’endroit exact ou on avait perdu sa trace. Elle est vivante, mais reste plongée dans un étrange mutisme. A la joie des retrouvailles, succèdent alors les interrogations. Ou était Layla pendant cette période ? Avec qui ? Et surtout : pourquoi est-elle revenue ?

La possibilité de se reconstruire après une épreuve, même terrible, semble être le fil conducteur du roman.

Sous des abords ludiques et légers, tous mes romans abordent, en toile de fond, des thèmes plus profonds. Le surnaturel, le mystère, le thriller, ne sont en fait que des prétextes pour évoquer d’autres grandes questions. Et après… traitait du deuil et de la fragilité de l’existence ; Sauve-moi évoquait le rôle du hasard et du destin, Seras-tu la ? parlait de la vieillesse, des remords et des regrets. Parce que je t’aime aborde le thème de la résilience, cette capacité psychologique à résister à l’adversité, à surmonter les épreuves pour en ressortir parfois plus solide. Depuis longtemps, je lis avec intérêt les ouvrages de Boris Cyrulnik dont le message et le credo – rien n’est définitivement joué – imprègnent cette histoire et certains de ses personnages.

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Pourquoi demandez-vous à vos lecteurs, au début du livre, de ne pas en révéler le dénouement ?

Les Américains parlent de < twist ending > pour qualifier ces films ou ces romans qui parviennent à créer une vraie surprise dans leur dénouement. En tant que lecteur et spectateur, j’ai toujours aimé les retournements de situation qui, à la fin d’une histoire, lui donnent une tout autre signification. Je me souviens encore, par exemple, de la surprise ressentie lorsque, enfant, j’arrivais à la fin de certains Agatha Christie (Les dix petits negres, le meurtre de Roger Ackroyd) ou en découvrant des films comme Psychose (la mère empaillée dans son fauteuil, c’était quand même sacrément bien trouvé à l’époque.), Citizen Kane (le fameux Rosebud du dernier plan) ou Les diaboliques. Clouzot avait d’ailleurs fait mentionner sur l’affiche du film : < ne soyez pas diaboliques : ne révélez pas la fin du film à vos amis ! > Plus récemment le réalisateur Night Shyamalan s’est fait une spécialité de ce type de retournement (le Sixième sens, Incassable) ainsi que David Fincher (Fight club, The Game) Pour les amateurs du genre, je conseille également Shutter Island, le roman très réussi de Dennis Lehane.

Votre précédent roman, qui se déroulait à deux époques différentes de la vie d’un homme, reposait déjà sur une construction très ambitieuse. Celui-ci renouvelle le défi, avec une succession de flash-backs.

J’attache toujours le plus grand soin à l’élaboration du < squelette > de mon histoire. L’enchaînement des chapitres, la divulgation progressive des indices, la construction, par petites touches, du caractère et du passé de mes personnages : tous ces éléments constituent l’épine dorsale de mon roman. Je peux passer jusqu’à six mois à mettre en place cette ossature qui doit fonctionner comme un mécanisme d’horlogerie.

Le livre est animé de clins d’oeil visuels, de présentations graphiques originales et soignées. Est-ce un choix de votre part ?

Je me fais un devoir d’inventivité permanente. Je recherche toujours à innover, à trouver des formes modernes, visuelles et attrayantes pour raconter mon histoire. Là encore, on pourrait remonter à l’enfance avec la découverte des Calligrammes de Guillaume Apollinaire. J’espère d’ailleurs trouver un jour une histoire qui me permette de pousser encore plus loin ce travail de jeux visuels, un peu à la maniere de ce qu’a fait Jonathan Safran Foer dans son roman Extrêmement fort et incroyablement près.

A la fin de ce livre, au lieu de la traditionnelle liste de proches, vous remerciez vos lecteurs. Pourquoi ce choix ?

Parce que je dois tout à mes lecteurs : depuis quatre ans, ils m’ont suivi à travers mes romans et mes personnages. Ils se sont approprié mes histoires et y ont trouvé des échos dans leur vie. Ils m’écrivent, viennent nombreux à mes séances de dédicaces, je leur dois mon succès. Une telle < histoire d’amour > valait bien quelques remerciements sincères à la fin d’un livre. C’est le moins que je pouvais faire. Et puis, comme je l’ai souvent dit, il n’y a pas de plus grande fierté, pour moi, que de voir des gens lire mes romans dans le métro. Car c’est la littérature populaire – celle des raconteurs d’histoires et du plaisir de lire – qui, enfant, m’a donné le goût de la lecture.

Et où en sont les adaptations de vos livres au cinéma ?

Le tournage de Et après… débutera cet été à New York. On parle d’un tres beau casting: Romain Duris, John Malkovich et Evangeline Lilly, l’héroine mondialement connue de la série LOST. Seras-tu la ? va également devenir un long métrage puisque les droits du livre ont été vendus à Christian Fechner et plusieurs producteurs s’intéressent à Sauve-moi.

Savez-vous déjà quel sera le thème de votre prochain roman ? Les lecteurs vous réclament parfois une suite à Et après… Est-ce envisageable ?

Il y a une dizaine d’histoires qui < tournent > en permanence dans un coin de ma tête. Pour l’instant, je ne sais pas encore quelle sera la prochaine à devenir un livre. Quant à écrire une suite à Et après…, il est vrai que j’ai très envie de retrouver les personnages de Nathan Del Amico et de Garrett Goodrich, mais je ne < passerai à l’acte > que lorsque j’aurai la certitude d’avoir trouvé une intrigue au moins aussi forte que l’histoire originale.

la presse en parle
  • « Guillaume Musso signe sans doute son meilleur roman. Le plus surprenant, le plus intime, le plus humain. »

    La Voix du Nord
  • « Les personnages sont dotés d’une fragilité extrêmement touchante et d’une humanité qui nous ficelle viscéralement à eux. Chez Musso, l’émotion a des accents majeurs.»

    Le Figaro Magazine
  • « La mécanique Musso est d’une implacable efficacité. (…) Les personnages sont dotés d’une fragilité extrêmement touchante et d’une humanité qui nous ficelle viscéralement à eux. Chez Musso, l’émotion a des accents majeurs. Et c’est là son plus bel atout. »

    Le Figaro Magazine
Toute la presse en parle
  • « Guillaume Musso n’écrit pas, il halète comme s’il était poursuivi par son récit, au point d’emprunter tous les chemins de narration possibles. Sans aucune fioriture, il crée un suspense à l’instinct. »

    Le Parisien
  • « Musso montre qu’il est passé maître dans l’art du mystère. »

    Paris Match
  • « Le lecteur est scotché à ce récit, à la lisière du rêve et du fantastique. Un dénouement ahurissant. »

    Gala
  • « Emotion, suspense, surnaturel…L’imagination est reine. »

    Télé Star
  • Découvrez Parce que je t’aime, « guidé par la plume alerte et envoûtante de Guillaume Musso. »

    Nice Matin
  • « Avec Parce que je t’aime, Guillaume Musso signe un quatrième roman fort en suspense et en émotions. Un livre impossible à refermer. »

    Matin Plus
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